Puis, devant nous, dans le vent marin, nous voyons Naples s'étendre, l'imprenable où tout va mal; où tout va bien, selon des souvenirs que nous avons oubliés, peut-être méprisés, mais qui dans ce crépuscule mélancolique, sur cet incroyable rafiot, nous paraissent les seuls acceptables.
Ennio Flaiano
(Corriere della Sera, 28-10-1972)
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