et celle d'une poudre à laver "révolutionnaire"
le poète ne bronche pas.
Il sait,
Il sait qu'il sera délogé
un matin brumeux comme ce matin là,
sur le quai du métro
direction Châtillon-Montrouge,
par un ouvrier déjà fatigué
qui le collera dans une caisse
avec les autres.
Il sait,
il sait que ses mots ne se laisseront pas enfermer.
Julius Marx
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