Aux premières heures claires.
Le choc de ma semelle sur les
cailloux ,
le ploc, ploc, de l’eau ,
dans ma bouteille,
le bourdonnement furieux des
bataillons d’insectes déjà au boulot,
le bois mort qui se brise sous
mes pas,
le feulement sourd du vent, comme une mer lointaine,
le feulement sourd du vent, comme une mer lointaine,
le gémissement des feuilles
trop sèches lorsque je leur pisse dessus.
Et puis , mon ventre qui
gronde...
Le silence… Quel silence ?
Julius Marx
le déchirement dans l'étoffe du temps
RépondreSupprimer