"J'aime lire allongée sur un canapé, mais ceci n'est pas une profession, hélas." Fran Lebowitz
mercredi 2 mars 2011
Cul de sac
A la frontière tuniso-libyenne, on me parle de plus de 2O.OOO réfugiés.
Les réfugiés, pourquoi s'en préoccuper?
Le devoir d'un réfugié, n'est-il pas d'attendre sagement qu'un organisme d'Etat ou des gens bénévoles d' une puissante organisation non gouvernementale s'occupent de lui?
Il a dû fuir le pays en guerre, et alors, qui lui a dit de partir, de s'exiler loin de son pays, de ses habitudes, de ses coutumes?
Oui, je sais, il doit trouver du travail, mais a-t-il vraiment bien cherché chez lui?
De toutes parts, j'entends les critiques sur les soi-disant dictateurs. N'exagérons rien, un régime autoritaire est quelquefois le seul remède face à ces peuples paresseux. Voyez Mr Kahdafi , qui savait si bien s'occuper lui, des réfugiés. Les commentateurs ne voient souvent que la main de fer et oublient volontairement le gant de velours.
Avant ces regrettables incidents, nos banquiers prospéraient, nos hommes politiques complotaient, nos industriels détournaient mais les réfugiés travaillaient.
A trop vouloir changer l'ordre du droit on arrive toujours à ce genre de situation.
Depuis que le monde est monde, il y a le bien et le mal , les riches et les pauvres, c'est comme ça et nous n'y pouvons rien.
Alors, de grâce, laissez les spécialistes s'occuper de ces problèmes et spéculer tranquillement sur les matières premières. Prenez votre mal en patience et restez à votre place sinon, je vous préviens, on finira par couper les vannes !
Quant aux réfugiés, on a peut-être un peu trop exagéré les chiffres, comme toujours, et je sais de quoi je parle.
Et puis, ces gens ont le secours de la religion, qu'est ce qu'ils demandent de plus?
Bernard Madoff
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